










« Nous sommes de passeur.euses d’intentions. Là où nous plaçons notre attention, le corps se déploie, reste vivant. Les lieux du corps que nous oublions deviennent muets, silencieux, visibles mais inatteignables, comme s'il n'y avait plus de route pour s'y rendre. Alors il faut danser, il faut se bercer, pour mettre en mouvement le corps et l’esprit, et créer des chemins qui relient la tête aux pieds ! »